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Histoires partagées

Portrait croisé d’associés de Laurent et Olivier de la Clergerie, Galerie de 25 Portraits de collaborateurs du groupe LDLC : « Je ne pensais pas qu’on vivrait cela. »

Afin de célébrer ses vingt-cinq ans avec le même esprit de renouvellement qui lui a permis de devenir un leader de la vente high-tech, le groupe LDLC a souhaité ancrer son histoire aux côtés de la Maison Trafalgar. Offrant un contrepoint intime et original sur ce quart de siècle, le Portrait croisé des deux frères de la Clergerie, Laurent et Olivier, a été l’occasion pour les deux associés de prendre le temps de revenir sur ce qui a fondé et construit cette épopée entrepreneuriale et familiale. Mais c’est aussi au travers d’une galerie de vingt-cinq Portraits écrits et photographiques consacrée aux membres de leurs équipes, que le groupe a souhaité prendre le temps de présenter quelques talents. Qu’ils œuvrent au sein des entrepôts, des magasins ou du siège, qu’ils soient en charge de la maintenance, du service administratif ou de la logistique ; du livreur vétéran à l’étudiante diplômée de l’école interne, des responsables de département aux directrices de filiale, LDLC s’est incarné grâce à cette diversité de vécus et de regards. Mis en perspective dans un livret conçu par nos soins, ces récits individuels révèlent l’histoire collective d’un groupe régulièrement médiatisé ; répondant ainsi aux défis portés par un tel anniversaire : remercier, révéler, inscrire et inspirer.

« En lisant les 25 portraits des équipes, j’ai trouvé cela épatant. Et la photographie à côté, liée au portait, c’était incroyable (…) L’émotion qu’il y avait derrière ces portraits… Je les ai lus d’un trait. J’y ai passé trois heures, un soir, sur mon ordinateur. J’ai eu quelques larmes, pour être franc, tellement je trouvais cela beau et l’amour qu’ils pouvaient restituer. Bien sûr, l’écriture est parfaite, mais ce qui m’a fait le plus vibrer, c’est que les portraitistes Trafalgar sont allés chercher la pulpe du fruit de chaque personne pour créer une histoire qui est juste magnifique. Il faut vivre l’expérience ou lire les portraits qui existent pour comprendre que c’est complètement différent de tout ce qu’on peut lire ailleurs. C’est de la haute couture, non seulement dans l’écriture, mais aussi dans l’expérience qu’on vit. C’est tout le moment qu’on vit qui est de la haute couture. Le moment de partage qui est simple et unique dans sa façon d’être, et le restitué, qui est quelque part le moment de grâce. Quand on lit les différents portraits, on va au-delà de ses espérances. On n’imagine jamais ce que les portraits vont nous faire vivre. Merci à tout le monde car j’ai vécu, et vous avez fait vivre à toutes les équipes, un moment incroyable. Je ne pensais pas qu’on vivrait cela, et vous nous avez fait vivre un petit moment de grâce, donc merci. »

– Laurent de la Clergerie

« Je suis bluffé par cette haute couture faite main par la Maison Trafalgar. Vous avez une équipe formidable, qui rassure et qui met en confiance lorsqu’on se présente à vous. C’est ce qui m’a permis de me livrer à cœur ouvert. Vous êtes des professionnels et je vous félicite. Vous avez tout mon respect car tout le mérite vous revient pour le travail accompli, c’est magique. » 

– Basil

« Un grand merci pour ce magnifique cadeau que ce portrait. J’adore l’écriture, à la fois poétique, funky, sérieuse, émouvante… Je me suis marrée en le lisant, j’ai parfois juste souri, de tendresse ou de nostalgie, et j’ai fini émue à la lecture de tout ce parcours. Vraiment, quel chouette portrait ! Et j’en ai même aimé la photo, c’est dire ! L’équipe est géniale, elle respire l’empathie, du coup on a tout de suite confiance et on se sent en sécurité (ça aide pour se dévoiler !) Vous avez tous cette capacité à mettre à l’aise dès les premiers instants, et je crois que cela vient du fait que vous aimez les gens, pour de vrai, et on le sent. Merci pour votre humanité, merci pour votre gentillesse, votre patience aussi, à nous écouter sans broncher, à être à l’écoute de nos besoins, à être à nos petits soins, ça fait du bien. »

– Virginie 

« Je tiens à vous remercier pour cette expérience hors normes qui m’a fait passer par plusieurs émotions. J’ai pu plonger, grâce à vous, dans mes souvenirs, retrouver des fragments de vie que j’avais enfouis dans mon esprit et presque oubliés… Parfois inconfortables, parfois drôles, parfois compliqués, parfois douloureux, parfois tendres… Tous ces moments que j’ai échangés avec vous m’ont marquée. Votre douceur et votre écoute m’ont permis de me dévoiler sans retenue, et je crois que c’est à cela que vous pouvez vous dire que votre Maison est puissante. À la première ligne de mon portrait, j’ai esquissé un sourire… Oui, c’est bien moi et c’est réussi. Un immense merci à votre Maison, votre équipe, mais aussi et surtout à Laurent, qui m’a permis de vivre cette expérience. »

– Amandine 

« Wouah c’est génial ! Le rendu est fabuleux, et l’écriture, j’adore ! C’est punchy et drôle ! Vraiment bravo ! Je tenais à vous remercier pour ce sublime travail. Votre équipe est à votre image : bienveillante, souriante, et avec beaucoup de goût ! Résumer deux heures d’entretien en une page, sans connaître son interlocuteur, mais arriver à faire ressortir sa personnalité comme si vous connaissiez la personne depuis toujours, c’est un art ! Le résultat est sublime, et on aurait presque envie que cela dure encore, page après page ! Merci encore. »

– Alison

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Soirée anniversaire du groupe LDLC : les réalisations de la Maison Trafalgar à l’honneur !

Toute l’équipe de la Maison Trafalgar est ravie de l’accueil qui a été réservé à ses créations, lors de la soirée fêtant les 25 ans du groupe informatique. Un jalon majeur dans son histoire, à la faveur duquel LDLC a mis en valeur les vingt-cinq collaborateurs dont nous avions réalisé les Portraits écrits et photographiques, mais aussi le Portrait du fondateur éponyme et de son frère Olivier, afin de retracer une aventure entrepreneuriale singulière.

Tous les talents qui se sont confiés aux bons soins de notre Maison ont apporté leur regard, leurs anecdotes et leurs aspérités, pour reconstituer cette fresque fidèle à l’humanité qui a toujours présidé chez LDLC. Notre Maison salue le travail d’installation magnifique effectué pour l’évènement, et remercie les invités qui nous ont fait parvenir leurs clichés après avoir reconnu la signature Trafalgar !

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LDLC & Trafalgar : l’histoire se poursuit ! La Maison Trafalgar intervient auprès des étudiants de l’École LDLC, afin d’affermir leurs compétences en art oratoire

Depuis que la Maison Trafalgar a signé le Portrait écrit de Laurent et Olivier de la Clergerie, ainsi que ceux de 25 talents à l’occasion du 25e anniversaire du groupe, nos liens sont restés vifs. Selon des modalités de cours innovantes, l’École LDLC forme ses étudiants aux technologies et à leurs usages, à l’économie numérique, et au webmarketing. Qu’ils intègrent une entreprise, suite à l’obtention de leur bachelor, ou s’engagent dans une aventure entrepreneuriale, tous sont résolument tournés vers l’avenir et les perspectives qu’il ouvre. Tous, aussi, ont soif d’apprendre… et de dire ! Virgile Deslandre, directeur des opérations de la Maison Trafalgar et expert en rhétorique, a eu le plaisir d’intervenir auprès d’eux. 

En premier lieu, une formation de douze heures leur a été dispensée en art oratoire : qu’ils aient à passer des entretiens ou à présenter leur projet personnel, les étudiants de l’École LDLC ont besoin de maîtriser des techniques de conviction solides et éprouvées. En second lieu, Virgile a pensé pour eux une conférence sur ce thème : « L’économie de l’attention ». Cette fois, il s’agissait d’imaginer ensemble ce vers quoi allaient tendre nos sociétés face aux nouveaux enjeux du numérique tels que le métavers, afin d’adapter leurs stratégies aux réalités de demain.

Un grand merci aux étudiants de l’École LDLC qui n’ont pas manqué d’exprimer leur grande satisfaction à l’égard de nos interventions !

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Portrait croisé d’associés, Laurent et Olivier :

Érigée en success story au risque de commettre de regrettables raccourcis, la trajectoire de Laurent et Olivier de la Clergerie ne saurait être comprimée dans le cliché des étoiles contraires, ou tout autre monochrome trop net : au-delà des chiffres et des poncifs préconçus, il est des petites histoires qui gagnent à être connues. Outre une répartition des missions qui fait de Laurent l’architecte au trait franc et entier, d’Olivier le méticuleux maître de chantier, les deux frangins se rejoignent dans une cadence de l’entrepreneuriat où rien n’est éternel, sinon le pilier de la synchronicité fraternelle.

Si la fratrie de la Clergerie s’orienta effectivement vers l’ingénierie, ils n’eurent pas exactement la même approche de la discipline. À Laurent, déjà un rien provoc devant tout ce qui le choque, d’être l’angoisse des parents, toujours « ric-rac » de la moyenne, à préférer les tables de poker virtuelles à celles où les examens le rappellent. Sa ruse peu orthodoxe l’ayant adoubé The Fox sur Internet, le jeune hacker développa sa propension à casser les codes, à commencer par ceux du réseau étudiant – impliquant la complicité de celui que personne n’a jamais soupçonné.

Tel un bernard-l’ermite incessamment à l’étroit, LDLC connaît une croissance trop rapide pour demeurer longtemps au même endroit. Le groupe bondit à Dardilly, à Saint-Quentin, à Écully, ouvre des boutiques aux quatre coins de la France et déclenche des tics nerveux chez ceux qui prédisent un résultat désastreux. Mais au bout de la course, voilà qu’il arrive en bourse ; voilà qu’il emmène Olivier et sa carrure décisionnaire dans une seconde partie de carrière. Les initiales LDLC, réputées comme un incontournable du e-commerce informatique et high-tech, sont passées de la capitale des gones à celle de l’Hexagone, avant de traverser la France, la Suisse, la Belgique et le Luxembourg. Les deux frères, entourés par plus de mille collaborateurs ayant comme eux l’innovation dans le collimateur, ont ajusté leur mire bien au-delà de l’assemblage des ordinateurs afin d’essaimer dans d’autres secteurs, et de confirmer que des filiales pouvaient aller de pair avec les cartes mères.

Tous les geeks le savent depuis les avancées des processeurs : l’heure est aux structures qui hébergent plusieurs cœurs. Bien entendu, ceux de Laurent et Olivier seront toujours envoûtés par les nouveautés qui percent dans la Silicon Valley et ailleurs, mais la question se pose de regarder au-delà de graphismes plus fins, d’une escalade à la puissance sans fin. Laurent a donc pressé le bouton « reboot » sur ce projet de restaurant resté à l’échec, lui qui mangeait les pages de magazines culinaires à l’âge où les enfants se mettent n’importe quoi dans le bec. Et fidèle à ses fourneaux autant qu’il l’est à ses manières, l’agitateur continue d’interroger et de déroger à ce qui serait attendu, au risque de s’exposer au bâton qu’il aura lui-même tendu.

Christine

C’est en augmentant le pas de son ambition et en quittant son pays natal que Christine prit la décision d’un changement de vie radical. Et la France romanesque et romantique imprimée en image d’Épinal percuta une réalité plus épineuse ; très vite, l’originaire de Tsin Tao dut troquer sa routine pour le chaos. Entre la gestion logistique de premier ordre et la conduite de tractations serrées, Christine rend aujourd’hui un peu de cette fierté à son père entrepreneur qui lui inculqua la puissance de la valeur travail, rassure aussi une mère qui inventa tous les baratins possibles pour empêcher que sa petite Xin ne s’en aille. Les embarquant régulièrement en voyage à travers les continents « histoire d’apporter un peu de douceur dans leur quotidien », Christine se replace toujours sur la ligne de départ, parée à rassembler ce que le monde a d’épars.

Yann 

Depuis, le haut débit a peut-être chassé les pelotes de câbles pour connecter les unités centrales, il résonne encore l’écho des parties de Quake qui se disputaient rue de Marseille, les frags et les deathmatches poursuivis jusqu’aux aurores pour laver son honneur, avant de réceptionner le matériel dans la bonne humeur. Moins l’élu d’une prophétie pour sauver le royaume que celui d’un système fondé sur d’aventureux axiomes, Yann se fait aujourd’hui le garant d’une intégrité que la croissance du groupe ou les effets de mode ne sauraient ébrécher.

David

Le goût du labeur glané en terres finistériennes, David fila ses désirs d’imaginatif dès son retour à la vie civile, où un BTS en informatique et quelques CV peu denses, mais très graphiques, lui assurèrent une entrée active sur le marché. À la veille de la trentaine, il s’inscrit parmi les pionniers du e-commerce au sein d’agences parisiennes à la pointe. Il se souvient des prémisses du secteur que seuls les plus impliqués comprenaient ; des journées passées à plancher, des nuits en lits de camp installés sur place, des soirées enfumées, des idées fumantes et des budgets alloués sans latence.

Dominique

Le point d’orgue d’une carrière durant laquelle Dominique ne fit jamais preuve d’orgueil, quand bien même son humeur constante et sa gouaille légendaire, remarquées partout, lui ont érigé une réputation d’affable à l’écoute. Il faut dire que la Technicienne de surface ne s’est jamais contentée d’y rester lorsqu’elle tissait quelques affinités à l’occasion d’une pause ou d’une discussion à la volée. De son quart d’heure rituel en compagnie d’Olga, directrice de la compta, à ses déjeuners partagés à l’accueil, aux côtés de Catherine, c’est à force de conversations en pagaille qu’elle s’est hissée à un niveau de savoir que pourrait envier n’importe quel RH ; Dominique connaît les manies de Marie, les habitudes de Harry, les anecdotes glanées à l’informatique jusqu’aux emplois du temps de la logistique.

Basil

Amenez un Livreur à se livrer, il se produira des effets à réception. Si son métier pris à cœur lui a conféré une renommée d’ambassadeur, Basil soigne une discrétion de fond, lui qui pourrait d’ailleurs en être le convoyeur. Diplômes en logistique classique et sa variante humanitaire, licence en géographie et qualité d’agent de maîtrise en commerce – toutes ces qualifications étagées pourraient en encombrer d’autres, ce sont surtout les qualificatifs élogieux de ses clients dont il souhaite être l’apôtre.
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