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Histoires partagées
Elle est Responsable adjointe de la sûreté, Adjointe au chef pâtissier, Stockiste, Responsable Cave, Conseillère de vente aux évènements commerciaux, Gestionnaire de téléphonie mobile, Responsable des Ventes Lingerie et Petite Enfance ; Il est Architecte d’intérieur, Horloger, ou encore Chef Boucher. Ces femmes et ces hommes sont tous porteurs d’une identité, d’un savoir-faire, d’une histoire personnelle et d’un héritage partagé avec Le Bon Marché. Nous les avons retrouvés à Paris pour leur faire vivre un instant suspendu dans le temps ; un moment qui leur a été consacré pour revenir sur leurs formations, leur parcours interne, leur mérite et leurs rêves.
« En contactant la Maison Trafalgar, nous avions à cœur de faire que nos collaborateurs se rencontrent autrement, et nous avons nous aussi été prises à notre propre jeu ! Travailler avec Trafalgar, c’est bien sûr une histoire d’élégance, de mots qui vous scotchent, de portraits cousus main qu’on se presse de découvrir, mais c’est aussi la rencontre d’une équipe à l’écoute, qui a su plonger dans nos univers pour mettre en valeur des détails insoupçonnés. »
– Mathilde B, Responsable Communication interne et Expérience collaborateurs
Merci à Soukaïna Jabir, Arnaud Munoz Esteves, Charlotte Toubeau, Jacqueline Da Silva, Hakim Bourahla, Roxane Amargil, Karine Dievart, Nathalie Aubert, Arnaud Sevestre et Vinciane Lefevre pour leur confiance tout au long de l’élaboration de leur Portrait.
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De la vente au rayonnage, du marketing à l’efficacité énergétique en passant par la formation, il affleure des parcours et des aspirations qui appartiennent à l’histoire de chacun et renforcent l’âme et le bouillonnement de ce premier grand magasin parisien. Après une première galerie de dix Portraits, qui a valu au Bon Marché de recevoir le LVMH Inclusion Index Awards, le travail de fond mettant en lumière les talents et les savoir-faire insoupçonnés du Bon Marché Rive Gauche et de la Grande Épicerie de Paris se poursuit ! En complément de cette seconde galerie de Portraits, l’équipe de la communication interne nous a également confié la rédaction d’un Écrit couture tout à fait singulier. L’Effet Marguerite, Manifeste inspiré par l’incontournable fondatrice Marguerite Boucicaut, ancre ses mesures pionnières, mais aussi l’esprit d’initiative qui a toujours su se déployer sous le dôme du Bon Marché.
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Félicitations à nos fidèles clients et à tous les membres de notre équipe ! Le groupe Bon Marché reçoit le LVMH Inclusion Index Award 2021.
Un prix qui récompense l’exemplarité de ce programme interne, et le travail de fond que nous menons à leurs côtés. Chaque année, une singulière galerie de Portraits écrits et photographiques, mais aussi l’écriture du Manifeste L’Effet Marguerite, inspiré par l’emblématique fondatrice Marguerite Boucicaut !
« Vous avez consacré du temps, de l’énergie, votre créativité pour donner du cœur à L’Effet Marguerite. Un grand merci, car cette récompense est aussi la vôtre, merci de nous avoir aidés à donner vie à notre projet. Nous sommes au début de l’histoire de L’Effet Marguerite, et nous comptons écrire la suite ensemble. »
– Mathilde BARBARA Responsable Communication Interne GROUPE BON MARCHÉ
Parmi les plus de 148 projets, seulement 7 ont été sélectionnés pour leur impact social, leur efficacité et leur approche innovante. Parmi ces projets, l’Effet Marguerite s’est démarqué !
Merci Romain Chambodut de nous accompagner dans chacune de ces galeries !
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Depuis plusieurs années, Le Bon Marché et la Maison Trafalgar ont noué une relation forte autour de la réalisation de différentes galeries de Portraits de talents. Sollicitée cette fois dans le cadre du 170eanniversaire, notre Maison a eu le plaisir de retracer le lien particulier qui unit ce lieu iconique à différentes collaboratrices. Par-delà l’exploration d’un cheminement professionnel, ces Portraits s’attachent à dévoiler ce qui fonde la singularité de ce grand magasin, à travers le regard de trois femmes qui le connaissent chacune à leur manière. Qu’elles soient Conseillère mode Homme depuis plus de quarante ans, Chargée de Mission Développement Clients ou Responsable de Projets Culturels, elles y ont construit une part de leur carrière et de leurs souvenirs ; ont vu Le Bon Marché évoluer, se parer de nouveaux agencements ou se réinventer au gré de thématiques artistiques. S’il imprime durablement sa marque, l’émotion qu’il suscite chez celles et ceux qui œuvrent à sa réussite, est assurément intact. Un grand merci aux équipes Le Bon Marché Rive Gauche pour cette confiance renouvelée et pour leur fidélité !
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En parallèle d’une nouvelle galerie de Portraits de talents du Bon Marché, la Maison Trafalgar s’est vue confier différents Portraits de collaboratrices spécialement pensés pour célébrer l’anniversaire de La Grande Épicerie de Paris. Adoptant un axe d’écriture singulier, chaque écrit souligne le lien fort et tout particulier que Jina, Marie-Claudine, Olga et Valérie entretiennent avec l’institution centenaire. Cette galerie explore des carrières déployées sur plusieurs décennies ; certaines ont vu naître le comptoir de la Boulangerie dans les années quatre-vingt, d’autres ont vu évoluer les lieux et tout ce qui participe à son rayonnement. C’est en tirant le fil d’histoires toutes plus attachantes que La Grande Epicerie de Paris célèbre sa belle odyssée.
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Dans le sillage d’une collaboration débutée en 2020, le groupe Le Bon Marché a de nouveau mis en lumière les métiers et les savoir-faire de ses talents. D’une plongée dans le quotidien d’une Conseillère Relations Clientèle au savoir-faire d’une Coordinatrice de Présentation Visuelle, en passant par l’évolution interne d’un Chef d’équipe Logistique qui a démarré magasinier ; plusieurs nouveaux Portraits viennent enrichir cette grande fresque. Les parcours d‘Aleksandre, Alice, Isaure, Thouraya, Thomas, ou encore Rachid sont autant d’histoires et de trajectoires singulières. Nous les avons retrouvés à Paris pour leur faire vivre un instant suspendu dans le temps ; un moment qui leur a été consacré pour revenir sur leurs formations, leur parcours interne, leur mérite et leurs rêves.
« En contactant la Maison Trafalgar, nous avions à cœur de faire que nos collaborateurs se rencontrent autrement, et nous avons nous aussi été prises à notre propre jeu ! Travailler avec Trafalgar, c’est bien sûr une histoire d’élégance, de mots qui vous scotchent, de portraits cousus main qu’on se presse de découvrir, mais c’est aussi la rencontre d’une équipe à l’écoute, qui a su plonger dans nos univers pour mettre en valeur des détails insoupçonnés. »
– Mathilde B, Responsable Communication interne et Expérience collaborateurs
Extraits
Charlotte
La tradition fait un vilain défaut de la gourmandise, mais pour Charlotte, il faut assurément pêcher dans ce vice capital pour préparer de capiteuses friandises. L’Adjointe au chef pâtissier ne pourrait s’ennuyer de ce lieu où pétillent les papilles : ciselées comme des lapislazulis et confectionnées sur place, nappées de coulis ou saupoudrées de sucre glace, les créations se réinventent avant que le palais ne s’en lasse.
Hakim
En tant que Chef boucher de La Grande Épicerie de Paris, Hakim s’échine donc à froisser les clichés qui figent sa filière dans des silhouettes bourrues, aux façons de bourrin. Et bien qu’il lui faille soulever sans ménagement des carcasses de cent-dix kilos, et y aller franco pour en détailler le moindre morceau, in fine, c’est toujours la finesse de la découpe qui prime, la précision de la présentation qui donne à la bonne chère un tout nouvel attrait : séduire la vue avant de combler le palais.
Vinciane
Dans la cave de La Grande Épicerie de Paris Rive Droite, la lumière ne laisse aucune place à la pénombre : mieux, elle jette ses rayons sur des bouteilles en nombre. Ici, les années défilent au gré des cépages et de leurs assemblages ; les terroirs, cuvées et étiquettes s’affichent en ribambelle, si bien que sous le charme de ce plafond voûté, on ne compte plus les bouchons à faire valser.
Arnaud
Étoffant son équipe jusqu’à devenir référent, Arnaud embrasse cette chasse à la « petite bête » qui le caractérise et l’électrise dès qu’il empoigne ses outils, si bien que Le Bon Marché est légitimement couronné pour sa fiabilité sans faille et son amour du détail. Qu’importe s’il faut se lever aux aurores, bien avant les réveils, puisque c’est dans le silence des heures solitaires qu’Arnaud ausculte au mieux ses patients de fer. Paradoxalement, pour un horloger qui se sent à sa place, c’est un plaisir que le temps passe.
Nicolas
Posté derrière le desk et paré aux questions qui s’apprêtaient à lui être posées, le néophyte façonna trois ans durant une posture d’impeccable : body language et parole sans à-peu-près, mais toujours à-propos. Alors, quand le conseil en achat prit son essor, celui qui est à l’écoute de la moindre vibration agitant la mode eut à cœur de prouver qu’une telle fonction était de son ressort. Par-delà les sessions qui laissent volontiers les minutes s’égrener, où se croisent les tenues, les teintes, les marques convoitées et les remarques éclairées ; par-delà la ferveur de déclencher d’intenses réactions grâce à une dentelle de Calais ornant une pièce de créateur, c’est à la marge de ce quotidien parfois fantasmé qu’affleurent tous les efforts du Personal shopper.
Ousmane
La sécurité et les rouages bien huilés sont devenus le centre de son attention, car Ousmane a filé une carrière piquée par les enjeux logistiques, et entamée dans la manutention. Il a suffi d’un job d’été en tant que magasinier à l’aéroport de Roissy, pour que le diplômé d’un bac pro en électrotechnique quitte les bancs d’école sans ambages vers les pistes de décollage. Progressant sous la houlette d’un supérieur passé par l’armée, le jeune homme résista à la pression de l’urgence et décrocha ses galons de chef d’équipe en gérant l’acheminement des avions en kit : roues, moteurs, sièges et cockpits. S’il éleva également le niveau de sa gymnastique en affrétant pour les sociétés pétrolières des cargos Beluga, Ousmane fit le choix de se défaire de la raideur de son secteur pour un univers plus raccord à son goût pour la finesse et le courtois.
Thibault
Avec son humour, cette aisance à se joindre aux intérêts des jeunes pousses et sa chevalière stormtrooper au doigt, le Conseiller de vente est à sa place parmi ces monts de jouets colorés, en plastique, en mousse ou en bois. Si Thibault assure ses responsabilités avec un sérieux retranscrit dans les rayons, les stocks et une manutention des plus carrés, l’affable vendeur n’hésite pas à donner de sa personne pour concevoir des univers immersifs dont la mise en scène laisse béat, à se montrer à la hauteur des minots trépignant devant ces trésors qui leur tendent les bras.
Thouraya
Le sens du relationnel, Thouraya l’entretient depuis son enfance, passée dans sa Tunis natale. La jeune fille « très timide » se laisse tenter par l’enseignement, une fois son baccalauréat littéraire obtenu. Balayant ses doutes, aux voyages livresques, elle opte finalement pour ceux qu’elle proposera au sein d’une agence de tourisme locale. Dans ce nouveau domaine, Thouraya se prend d’une véritable passion à guider et à choyer les groupes de vacanciers, à côtoyer des cultures et des coutumes venues d’ailleurs. C’est décidé, dans la foulée, elle se lance dans une carrière d’hôtesse de l’air. De Chicago à Singapour, de Bangkok à Kuala Lumpur, elle arpente le globe d’escales en escales. Installée quelques années au Koweït, Thouraya y affine sa connaissance des langues étrangères, son anglais déjà entretenu à coups de cours du soir, autant que sa maîtrise de l’arabe littéraire.
Rachid
Tandis qu’il scanne, étiquette, contrôle ou réceptionne, à pied d’œuvre sur cette grande mezzanine qui surplombe navettes et fenwicks, le Chef d’équipe Logistique sait que son action dépasse quotidiennement le cadre de son décor. En libérant le maximum de volume au sein de son entrepôt, il permet au Bon Marché de disposer d’assez de place pour réinventer en permanence ses espaces, de remettre les invendus en solde, préparer les collections d’hiver ou monter un pop-up en un temps record. Et puisqu’un article lui arrive en étant déjà passé par plusieurs étapes, il n’est pas un jour sans que Rachid ne sorte sa panoplie de Sherlock Holmes pour se livrer à tout un panel d’investigations. Garant de l’intégrité des produits qui passent sous ses yeux, il répertorie à la loupe les moindres imperfections, gère les anomalies dans les listings, relance les autorisations de retours, s’attèle au reconditionnement des emballages, sollicite des experts de tous les secteurs, du Bureau d’Achat au Service Traitement, en passant par les fournisseurs. Une quête de précision qui tend parfois à l’infime, car Rachid est aussi du genre à quantifier jusqu’au dosage de la caféine.
Margaux
Au contact des références qui la fascinent depuis toujours, par le biais de ces exclusivités que seul Le Bon Marché Rive Gauche est capable de proposer, la Chargée de mission développement clients, événements et partenariats sait s’y prendre pour surprendre. Puisant l’inspiration dans les lointains voyages qu’elle entreprend, autant que dans le dynamisme de la capitale, Margaux s’implique, avec ses collègues de la cellule dédiée, pour faire du Bon Marché Rive Gauche unlieu atypique qui répond à toutes les attentes, même les plus élevées. Elle s’enthousiasme à ce titre de la carte blanche qu’il lui est laissée pour convier la clientèle à rencontrer ces plumes qui font l’actualité littéraire, à profiter d’une privatisation, d’un tea time ou d’une masterclass avec, en invité, le nez d’un parfumeur renommé, ou encore pour une soirée avec le mixologue d’un grand palace parisien. Émaillant aussi la vie culturelle du magasin, son action s’exprime jusqu’aux visites privées avec la fondation Vuitton, le musée Rodin, le Grand Palais, dans les ateliers des maisons de prestige, ou encore au Palais de Tokyo. N’hésitant pas à faire découvrir les coulisses du Bon Marché Rive Gauche, Margaux coordonne et entretient « tout ce qu’il porte pour symbolique » jusqu’à ce plaisir, en dehors des heures d’ouverture, d’actionner elle-même les rotors, en ajustant aussi bien les jeux de lumière que la cadence des escalators.
Éléna :
Formée à l’Histoire de l’art, passée par l’agence de presse Magnum, l’esthète découvrit le grand magasin parisien en se rendant à une présentation des films de Guy Bourdin ; une épiphanie pour la Responsable Projets Culturels qui se rend alors compte qu’un haut lieu de commerce peut aussi fusionner des mondes aussi divers que la gastronomie, la mode, le design ou le street art. (…) De ces photographies immortalisant l’inauguration, en 1923, du bâtiment actuel de La Grande Épicerie Rive Gauche, aux seventies en version flower power, quand les bureaux respiraient encore les effluves des Gauloises, Éléna a pu constater que si chaque époque a apporté sa patte, cette fibre sociale est demeurée intacte. D’ailleurs, se glissant parfois dans un rôle de médiatrice culturelle, il lui tient d’orchestrer des visites singulières pour ses collègues, des moments où l’ouvrage se contemple, et se raconte d’une manière parfois insoupçonnée. À la manière du cent-soixantième anniversaire du Bon Marché, qui détonna grâce aux vitrines enjolivées par Marjane Satrapi et à la présence de Catherine Deneuve qui en fut l’égérie, pour les prochaines bougies, Éléna pilote l’intervention du duo Toqué Frères pour une célébration pop qui s’inscrit dans le flow de son époque.
Portrait de collaboratrices, Marie-Claudine
Bien avant de célébrer ses cent ans, quand la boulangerie de La Grande Épicerie de Paris Rive Gauche ne consistait qu’en quelques corbeilles de pains, une jeune vendeuse de vingt-deux ans découvrait tout juste le coin. Marie-Claudine ne se doutait pas qu’elle proposerait bientôt une myriade de saveurs ; que ce comptoir encore naissant attirerait les foules du matin au soir, sans oublier le quatre heures. Tout commença par une virée à moto entre copines. Elle était bouche bée devant chaque merveille de la capitale, et s’engouffra au hasard dans une file d’attente, rue du Bac.
Portrait de collaboratrice, Olga
Olga apprécie aussi la scénographie de cette institution désormais séculaire, qui se renouvelle et offre toujours mieux, renforçant le plaisir de ceux qui goûtent d’abord avec les yeux : la « fresque » chamarrée de l’espace maraîcher, qui joue des formes et des couleurs au rythme des saisons ; l’impressionnant mural d’eau où cohabitaient des bouteilles de tous horizons, et puis ces huiles qui magnifient l’olive, sans oublier la façade végétale du magasin qui l’enjolive. De même qu’elle surprend sa famille et ses amis avec une petite friandise, elle raffole des shortbreads qui ravissent le tea time, des oursons en guimauve, elle distribue pour les occasions spéciales des paquets de nonnettes, des boîtes de macarons et des chocolats au piment d’Espelette.