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Histoires partagées

Haute Lunetterie. À Chamonix, le créateur Pascal Mathieu choisit la Maison Trafalgar ! Élaboration d’un Portrait de marque bilingue.

Des études polytechniciennes menées par son fondateur éponyme à ces lunettes confectionnées à Chamonix, l’aventure de la marque Pascal Mathieu méritait d’être mise en mots avec acuité. Pour accompagner une refonte globale de tous ses supports, pour rendre justice à la précision apportée à la conception des montures et pour immerger les clients dans les références du créateur, notre Maison a élaboré un récit où les techniques et les cheminements artistiques s’entremêlent. Ce ne sont pas moins de soixante-dix-huit étapes qui jalonnent la fabrication d’une paire de lunettes Pascal Mathieu ; il convenait donc faire la part belle aux nombreux métiers qui se relayent dans les ateliers. Afin de donner corps à la vision multifacettes que prône Pascal Mathieu, ce Portrait de marque embrasse des univers variés, à la mesure de toutes les potentialités que les lunettes permettent de révéler. Et puisque le logo orne les branches des modèles, la signature se devait de conserver une légèreté tout à la française – y compris dans sa déclinaison anglaise.

« Avec une plume affûtée, Trafalgar a habilement orchestré un récit où les techniques et les cheminements artistiques s’entremêlent. Le portrait de notre marque communique avec justesse et délicatesse les valeurs qui nous animent. Sensible à toutes nos demandes, l’équipe Trafalgar a su embrasser nos aspirations. Nous leur exprimons notre profonde gratitude pour la subtilité et la perspicacité de ce récit, qui donne vie à la vision multifacette chère au fondateur. »
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Extraits

Portrait iconique de marque :

Pour Pascal, les embranchements et les virages ont précédé les branches et les montures qui habillent les visages. Avant d’insuffler à sa marque toute sa multiplicité, il a commencé par écumer de nombreux pays, aux côtés de parents ingénieurs-bourlingueurs. […] Alors qu’il faisait sauter les plombs du lycée français de Vienne durant les travaux pratiques, Pascal démontrera que les exploits pyrotechniques n’empêchent pas la réussite académique : il choisit l’École Polytechnique. Rejoindre l’X n’aurait pourtant su résoudre l’équation. Comme toutes les étiquettes le démangent et qu’il aime les sauts dans l’inconnu, cet épris d’indépendance s’affirme dans l’incongru. La finance accueillera pour un temps Pascal parmi ses dédales de chiffres. Les différents dossiers, sur lesquels le touche-à-tout a focalisé sa curiosité entrepreneuriale, annonçaient sa volonté latente de se lancer à son tour. Ces années seront saupoudrées de périodes durant lesquelles il s’inscrit à la Sorbonne et à l’École du Louvre pour s’initier à l’Histoire de l’Art, quand il ne partait pas dans les cordillères népalaises, où le sport extrême démarre à chaque falaise.

Avouant ses penchants « overthinker », Pascal est de ceux qui n’étudient jamais assez. Avant d’aboutir à sa demi-douzaine de prototypes en acier, à ses vingt ébauches en acétate, il fait volontiers défiler plus de deux-cents croquis pour saisir la silhouette adéquate. Et il peut bien solliciter les experts du verre, le designer puise dans d’autres secteurs, il taquine d’autres optiques : une esquisse de Léonard de Vinci, un choc pictural devant Paul Cézanne peuvent être autant de sésames ouvrant sur de nouvelles approches. Parce qu’il a épousé cette volonté de déconstruction que prônait Pablo Picasso dans ses tableaux, les lunettes conçues par Pascal se découvrent par couches successives et juxtapositions. Elles n’empruntent d’ailleurs pas qu’aux palettes de grands maîtres. Tous les domaines peuvent donner naissance à un modèle iconique – la micromécanique, les technologies numériques, ou les arts graphiques.

Pascal Mathieu n’est pas qu’une marque qui élabore et raisonne ; la vision qu’elle apporte est aussi celle du fun. Comme elle s’émeut devant une vache aperçue de la fenêtre d’un train, elle continuera […] de s’autoriser toutes les idées, de prôner cette allure décontractée, cet esprit thèse, antithèse, synthèse qui représente si bien la classe à la française. En atteste l’objet qui ne quitte jamais le bureau du fondateur. Un objet peaufiné au micromètre, tout d’acier brossé, d’aluminium sablé, et gravé au laser de la signature de la marque Pascal Mathieu : la plus sophistiquée des boîtes à meuh.
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